Faire des économies d'énergie est une longue tradition chez Generfeu.
Depuis plus de trente ans, nous développons les techniques de chauffage qui offrent des retours sur investissements pertinents :
1 Nous sommes spécialisés dans le chauffage décentralisé, c'est à dire, les installations dans lesquelles la production de chaleur est effectuée dans le local à chauffer. De ce fait il n'y a pas de pertes de chaleur en chaufferie. Les consommations des auxiliaires (pompes...) ne représentent pas non plus de pertes dans un système décentralisé, car elles profitent à l'ambiance. En fait, avec le chauffage décentralisé, les seules pertes sont celles qui passent par les conduits de fumée.
De la même façon, le chauffage décentralisé ne nécessite pas de fluide caloporteur (eau chaude ou vapeur par exemple) . Il n'est pas nécessaire de maintenir une boucle d'eau chaude. Avec le chauffage décentralisé, il n'y a pas de consommation si il n'y a pas de besoin.
Enfin, avec le décentralisé, les appareils émetteurs sont différenciés et ne dépendent pas du fluide caloporteur. De ce fait si une partie du bâtiment nécessité de l'air chaud, et une autre du rayonnement à haute température (chauffage de zone par exemple), seul le décentralisé pourra répondre précisément au besoin. Mettre la bonne solution au bon endroit, c'est également limiter ses consommations.
2 Nos appareils fonctionnent au gaz. Il peut paraître anachronique d'affirmer que le gaz est vecteur d'économie en période de promotion hystérique du chauffage électrique. D'abord c'est un fait, le gaz coûte (beaucoup) moins cher que l'électricité. En France, grâce aux tarifs règlementés, d'une part, et à la prolongation de la durée de vie de notre parc nucléaire, le coût d'achat de l'électricité est pourtant le moins cher des grands pays d'Europe.
Cette situation ne devrait pas durer.
D'abord les tarifs règlementés pour les entreprises sont sur la sellette depuis longtemps, et le Gouvernement Français s'est engagé auprès de Bruxelles à les démanteler. Ce sera chose faite au cours de cette année pour les nouvelles installations.
Ensuite, Edf doit investir pour renouveler son parc, et démanteler ensuite les installations anciennes. Le président précédent d'Edf avait annoncé la nécessité d'une hausse de 20% des tarifs, ce qui lui a d'ailleurs coûté son poste.
Enfin, et plus fondamentalement, le chauffage est un besoin de pointe, qui ne peut être assuré pleinement par le parc nucléaire (base) ni par l'hydraulique (semi-pointe). Malheureusement, en hiver, la ressource en énergie renouvelable est très faible. C'est donc une production thermique (Charbon, fuel, gaz...) qui prend le relai lorsqu'il fait froid, peu importe d'ailleurs que cette production se fasse à l'étranger. Les rendements de production d'électricité à partir de centrales thermiques étant bien faibles, il ne peut être économiquement (et écologiquement) viable de transformer en électricité le gaz qui peut être directement consommé sur site.
Avec ses réserves importantes et l'ouverture du réseau au biogaz, le gaz naturel reste donc une énergie d'avenir pour les applications de chauffage. Pour longtemps.
3 Economiser l'énergie, c'est aussi faire le choix technique qui corresponde à votre situation : vos exigences en terme de température, les caractéristiques de votre bâtiment et de votre exploitation. En fonction de ces critères et de vos objectifs, un choix technique entre air chaud et rayonnement sera fait, puis, plus précisément un choix de matériel. Cette partie étude est essentielle, et conditionnera les résultats futurs de votre installation. Pour vous aider dans le choix parmi plus de 200 modèles à notre gamme, nous vous proposerons une assistance sur site ou à distance, pour vos projets de bâtiments neufs ou pour la rénovation de vos installations actuelles. |